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                                      | Nuit du 16 au 17 Juillet 1943 |  
                                      | crash
                                        d'un Dornier 217 du 5./NJG 4 à La Barre
                                        (Jura) |  |  |  |  |  | 
          
            |  | 
          
            | A La Barre dans le Jura, des témoins se souviennent de cet
      appareil
      Allemand qui vint un jour s'écraser aux limites de la commune ... | 
          
            |  | 
          
            | Cette nuit du seize Juillet 1943, l'avion en difficulté qui arrivait de
              Besançon par le  Nord-est accrocha la Ligne électrique avant de s'écraser et d'exploser sur un chemin en
      plein champ . | 
          
            | Aujourd'hui sur la portion de ligne qui existe encore, il
      reste un poteau ancien, témoin silencieux de l'accident, il cohabite avec
      d'autres plus récents.... | 
          
            | 
                
                  |  | 
                      
                        | L'appareil au bord de la route sera entièrement ferraillé, Le récent
      labour du chemin mit à jour quelques menus morceaux de métal torturé .. |  
                        |  |  |  | 
          
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                        | Le chasseur de nuit Dornier 217 N1 wk nr 1450 du 5./NJG4
      au décollage de St Dizier ou de Dijon intervenait contre un
      groupe de bombardiers Anglais à l'aller d'une Mission de Bombardement
      contre les Usines Peugeot de Montbéliard : |  
                        | Mission Z618:  2 groupes engageant  9 squadrons de  167
      appareils . |  
                        | Cette même nuit, un chasseur de nuit abattra ou percutera un
                          Handley Page Halifax
      Anglais qui s'écrasant en plein milieu de la Gare Viotte créa une
      confusion qui conduira au bombardement d'une partie de la ville de Besançon
      . |  
                        |  |  |  | 
          
            | Si l'on ne peut affirmer avec certitude, que ce Dornier 217 N1 est
      celui qui abattit le Halifax en question, toujours est' il qu' à
      ce jour aucun autre équipage allemand ne revendique l'appareil Anglais,
      faits à rapprocher des témoignages qui voudrait
      que le Halifax de la Gare soit entré en collision avec un chasseur
      de Nuit qui s'écrasera avec lui. | 
          
            | Sur papier, la "Nachjagd" ne perd pas d'autre appareil que le
              1450 dans le secteur durant
      cette funeste nuit du 16 Juillet 1943, ce qui ne suffit pas à écarter
      l'hypothèse qu'un autre avion à bien été détruit dans la collision à
      Besançon. | 
          
            | Par ailleurs un équipage du
              Squadron RAF 405 engagé dans la
      mission revendique un Dornier 217  abattu, il est vraisemblable
      qu'il s'agit bien du 1450. | 
          
            | (Note
      : une page spéciale d'Histavia 21 consacrée au bombardement de Besançon
      est prévue ...) | 
          
            | 
                
                  |  |  
                  | L'équipage
                    du Dornier 217 trouvera la mort dans l'accident   : |  
                  |  | 
                      
                        |  | Unteroffizier
      Prinz ( Pilote ) |  
                        |  | Unteroffizier
      zodl ( Radio ) |  
                        |  | Unteroffizier
      schönbrod ( Mécanicien ) |  |  | 
          
            | Les sépultures
            des infortunés aviateurs se trouvent au cimetière Allemand d'Andilly
            en Meurthe et Moselle ou seront regroupées après guerre les
            tombes des soldats Allemands venant de la région de Dole
            lorsque les corps n'ont pas été réclamés et rapatriés par les
            familles, le hasard du regroupement et peut être l'impossibilité
            d'effectuer le recoupement  à l' époque fît qu'ils furent inhumés dans des
            tombes différentes . | 
          
            | Sources diverses, travaux
d'archives, journaux Locaux, remerciements empressés à Mrs Henri Martin, John
Paul Basset, Christophe Deville, Michael Balls, Claude Archambault, Jörn Junker, et au propriétaire du terrain sans qui rien n'eut été possible
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